

Aller au contenu | Aller au menu | Aller à la recherche
lundi, 5 décembre 2011
Par Byshcat le lundi, 5 décembre 2011, 12:18 - Actualité de la rue
mercredi, 26 octobre 2011
Par Byshcat le mercredi, 26 octobre 2011, 16:51 - Actualité de la rue
mardi, 13 septembre 2011
Par Byshcat le mardi, 13 septembre 2011, 11:03 - Actualité de la rue
lundi, 12 septembre 2011
Par Byshcat le lundi, 12 septembre 2011, 14:41 - Actualité de la rue
vendredi, 15 avril 2011
Par Byshcat le vendredi, 15 avril 2011, 15:32 - Actualité de la rue
"En ce qui concerne le livre sur les escaliers parisiens, je n’y ai pas directement participé, j’ai juste facilité l’accès de l’auteur aux deux immeubles de la rue qu’il a retenu. Disons que c’est une démarche qui renforce encore un peu plus la notoriété de la rue et sa place dans l’univers parisien ! C’est un peu la dynamique à laquelle j’assiste en ce moment. Le travail que j’ai fait étant en ligne, je suis contacté par de nombreux auteurs, 5 ou 6 à ce jour, qui reprennent tel ou tel élément de mes recherches, ou qui me demande de leur donner quelques renseignements. J’adore !" (Baptiste Essevaz-Roulet)
dimanche, 30 janvier 2011
Par Baptiste Essevaz-Roulet le dimanche, 30 janvier 2011, 14:04 - Actualité des recherches
La conjonction de deux coups de chance va nous permettre de connaître tous les détails de l’édification du 3, rue Visconti.
Le premier est que la construction de l’immeuble du 3, rue Visconti a fait l’objet d’un « devis et marché », acte notarié relativement rare, donnant à la fois les plans, les instructions aux maîtres d’œuvre mais aussi les coûts et les conditions de règlement des ouvriers.
Le second coup de chance est d’avoir trouvé ce devis et marché ! Mon ami Yoann Brault des Archives nationales a tout d’abord trouvé par hasard l’expertise du chantier du 3, rue Visconti. Il s’agit d’un acte de la série Z1J qui n’est pas encore complètement dépouillée. Autrement dit, Yoann Brault ne l’a trouvé que parce qu’il était en train de les regarder un par un pour ses propres recherches.
J’ai donc pu consulter l’expertise grâce à la cote qu’il m’a donnée, expertise qui, elle-même m’a permis de trouver à ce fameux « devis et marchés » puisqu’elle y faisait référence (elle donne la date de l’acte et le notaire chez qui il a été signé).
L'histoire que l'on peut tirer de ces actes sera très bientôt en ligne !
samedi, 29 janvier 2011
Par Byshcat le samedi, 29 janvier 2011, 11:35 - Actualité de la rue
mardi, 7 décembre 2010
Par Byshcat le mardi, 7 décembre 2010, 19:08 - Actualité de la rue
mardi, 2 mars 2010
Par Baptiste Essevaz-Roulet le mardi, 2 mars 2010, 20:37 - Actualité de la rue
La librairie Jnf Productions, consacrée aux livres d'occasion et à l'édition d'objets d'artistes, présente depuis 1996 au 17-19 rue Visconti, vient de quitter notre rue. Nous n'aurons donc plus l'occasion de voir en filigranne les "Nanas" de Niki de Saint Phalle "gambader" derrière ses hautes fenêtres, ni M. Marcelo Peschin, que l'on pouvait saluer parfois sur le pas de la porte. C'est une galerie de photographies qui lui succèdera.
Néanmoins, nous pourrons la retrouver pas très loin, puisqu'elle est allée s'installer au 46, rue Saint André des Arts où se trouve déjà Artès. Retrouvez quelques photos sur le site www.ruevisconti.com dans la rubrique "Immeubles de la rue", ou directement à la page du n°17.
Retrouvez également le site en ligne de Jnf Productions .
Lucie Edouard
dimanche, 21 juin 2009
Par Byshcat le dimanche, 21 juin 2009, 14:18 - Actualité de la rue
vendredi, 6 mars 2009
Par Baptiste Essevaz-Roulet le vendredi, 6 mars 2009, 20:45 - Actualité de la rue
Ces dernières années, les galeries de la rue Visconti se sont presques toutes converties à l'Art Tribal des quatre continents. Notre petite rue devient ainsi le lieu de visite incontournable des amateurs d’arts premiers du monde entier. L’Afrique, l’Océanie, l’Asie et l’Amérique y sont représentées dans 7 Galeries spécialisées et dont la qualité des objets égale souvent celle des musées parisiens. Quel plaisir de flaner devant leurs vitrines et de découvrir des objets rares de toute beauté !
Ces galeries se sont associées pour organiser, avec le concours de l'association Rue Visconti-des-Prés, un événement sur 3 jours, du samedi 21 au lundi 23 mars 2009. Cette fête, qu'ils ont appelé "Paris rue Visconti" deviendra peut-être, au fil des ans, un classique de la profession.
Le communiqué de presse peut être téléchargé ici.
Voici les galeries qui participent :
Contact : tribalvisconti@gmail.com
mercredi, 4 février 2009
Par Baptiste Essevaz-Roulet le mercredi, 4 février 2009, 13:39 - Actualité de la rue
Depuis hier, l'entrée de porte cochère du 21, rue Visconti est étayée par de puissants bastaings qui soutiennent la façade. L'immeuble est-il sur le point de s'effondrer ? Pas du tout ! Il s'agit "simplement" de renforcer la poutre maîtresse qui est fendue dans le sens de la longueur.
En 1970, le chantier de construction du 23, rue Visconti a destabilisé gravement les fondations du 21. Le mur mitoyen a alors glissé de plusieurs centimètres dans le trou creusé pour réaliser le parkling souterrain de nos voisins. L'immeuble a été en urgence bardé d'étais, remplacés plus tard par des tirants métalliques sur les façades. Dans les années 1990, ces tirants extérieurs ont été remplacés par des tirants intérieurs. Il semblerait qu'ils aient été trop tendus, au point de compresser la poutre maîtresse de la façade à la faire se fendre.
L'entreprise qui intervient aujourd'hui doit consolider la poutre, notamment en la solidarisant avec une autre, moins visible.
dimanche, 28 décembre 2008
Par Baptiste Essevaz-Roulet le dimanche, 28 décembre 2008, 22:21 - Actualité des recherches
La conférence sur la rue de Rennes a eu lieu, comme prévue, la semaine dernière. Elle a duré une heure et a rassemblé entre 100 et 200 personnes : la salle de l'école des Chartes était pleine. Je me suis rendu compte après coup que le mensuel "Notre 6e" de décembre l'avait annoncée, ce qui explique peut-être l'affluence.
Photo : Georges Grand.
Au cours de la conférence, Yoann Brault et moi avons évoqué nos recherches, parfois encore en cours, sur l'histoire de la rue de Rennes. Nous travaillons sur deux axes, l'un étant lié à l'histoire générale de la rue, l'autre étant lié à l'histoire des parcelles, de chacune des parcelles de la rue. Ce deuxième axe permet d'atteindre un degré de détail rarement étudié, et révélateur de la façon dont le percement a été mené, et du profil des acheteurs et premiers occupants, du prix au m², etc. Evidemment, cela demande beaucoup de travail d'analyse (environ 200 actes dépouillés à ce jour).
Exemple de parcellaire de la rue de Rennes (en bleu) faisant la suture avec le parcellaire ancien.
La conférence annonçait la publication d'un article dans le bulletin de la Société d'Histoire de Paris et de l'Ile de France au premier semestre 2009. Nous allons, pour cela, achever nos recherches (il reste beaucoup à faire) puis démarrer la rédaction.
vendredi, 5 décembre 2008
Par Baptiste Essevaz-Roulet le vendredi, 5 décembre 2008, 18:33 - Actualité des recherches
Yoann Brault (Centre de Topographie historique de Paris, Archives nationales) et moi-même ferons le 16 décembre 2008 à 17h30 une conférence intitulée La rue de Rennes : un siècle d’hésitations. Urbanisme et architecture.
(copyright Baptiste Essevaz-Roulet)
Où ? à l'École nationale des Chartes, 19, rue de la Sorbonne, 75005 Paris.
Quand ? le 16 décembre 2008 à 17h30
C'est combien ? C'est gratuit
samedi, 1 novembre 2008
Par Baptiste Essevaz-Roulet le samedi, 1 novembre 2008, 08:59 - Actualité du site
Témoignage émouvant d'une situation de longtemps révolue, j'ai trouvé ce passage dans un parchemin de 1541 :
On y lit "Sainct Germain des Prez lez Paris", où le mot "lez", vient de "latus" pour "côté". La préposition n'existe plus que dans la toponymie, comme dans "Villeneuve-lès-Avignon" pour "Villeneuve à côté d'Avignon" ou "Villeneuve près d'Avignon".
Ainsi, ce petit bout de phrase nous renvoit à l'époque où Saint-Germain-des-Prés était encore un bourg autonome, presque discontinu de Paris. Au XVIe siècle, la capitale s'arrêtait à l'enceinte Philippe Auguste, soit avant les actuelles rue Mazarine, rue Mazet et le passage du Commerce.
Saint-Germain-des-Prés-lès-Paris a été rejoint par le tissu urbain de la capitale à peu près à cette époque. Au début du siècle suivant, soit une soixantaine d'années après le parchemin, la ville s'étend déjà au delà de l'abbaye, dans ce qu'on appelle le "faubourg Saint-Germain".
jeudi, 16 octobre 2008
Par Baptiste Essevaz-Roulet le jeudi, 16 octobre 2008, 11:44 - Actualité du site
Les outils statistiques de ruevisconti.com permettent de connaître les mots clés tapés sur un moteur de recherche et qui ont conduit les internautes sur le site. Voici le top 15 :
mardi, 9 septembre 2008
Par Baptiste Essevaz-Roulet le mardi, 9 septembre 2008, 21:12 - Actualité des recherches
Au premier semestre 2008, j'ai effectué de nombreuses recherches dans les fonds d'archives pour écrire l'histoire du temple de l'amitié, ou plutôt du temple "à l'amitié". Les premières recherches du printemps 2006 m'avaient permis de tracer une ébauche publiée sur Internet, déjà passionnante, mais il restait de nombreuses zones d'ombre.
L'origine du temple, notamment, et la légende, persistante, qui l'attribuait à la franc-maçonnerie étaient vraiment lacunaires. Les recherches ont été relativement fructueuses puisque j'ai pu brosser un portrait inédit des probables constructeurs de l'édifice et de leurs motivations... L'article, rédigé avec William Pesson, architecte DPLG, est donc paru sous le titre "Le temple "à l'amitié", rue Jacob, à Paris ; mythes et réalités" dans le numéro 62 d'août 2008 des Chroniques d'Histoire Maçonnique.
Vous pouvez le commander sur le site de l'éditeur.
dimanche, 31 août 2008
Par Baptiste Essevaz-Roulet le dimanche, 31 août 2008, 16:18 - Actualité de la rue
Florence Jonquières est décédée cette semaine dans son appartement du 13, rue Visconti. Presque octogénaire, Florence était très diminuée depuis quelques mois et souffrait autant physiquement que moralement.
Florence Jonquières était la fille de Henri Jonquières, éditeur venu s'installer rue Visconti dans les années 1920. Autant dire qu'elle n'a jamais quitté la rue de sa vie. Artiste, elle vivait dans un incroyable fatras et se rendait quotidiennement dans son atelier du 21, rue Visconti.
Elle était un personnage incontournable, goyeuse, râleuse et souvent amère. La rue Visconti était son antre qu'elle préférait "dans son jus" que propre et fraîche comme aujourd'hui. Elle nous a laissé de nombreux clichés de la rue Visconti qui sont reproduits dans ce site.
Je l'ai fréquentée ces dernières années et, malgré son sale caractère, n'ai pu m'empêcher de la trouver attachante. N'hésitez pas à commenter ce billet pour laisser vos témoignages et condoléances.
(Photo : Florence Jonquières dans son atelier par Laurent Morteau)
vendredi, 15 août 2008
Par Baptiste Essevaz-Roulet le vendredi, 15 août 2008, 12:07 - Actualité de la rue
Les travaux actuels de ravalement sur le 28, rue Jacob ont dégagé d'une part les colombages du bâtiments, et d'autre part, dans le mur de séparation d'avec le 21, rue Visconti, ce qui semble être le passage qui a existé.
Les deux parcelles n'ont en effet fait qu'une jusqu'en 1665 (voir la page sur le 21, rue Visconti). Après leur séparation, un simple mur de cloture existait entre les deux jardins.
Au début du XIXe siècle, Mr Reblet, Marchand-Tailleur, propriétaire de l'immeuble du 28, rue Jacob, appelé à l'époque l'hôtel du Parc Royal, avait signé un bail pour louer des locaux au 21, rue Visconti. Ce bail, pour faciliter l'accès au locataire, contenait l'autorisation de créer un passage dans le mur, avec obligation de le boucher à l'expiration du bail.
Suite à une chicane entre Mr Reblet et le Dr Poumiès de la Siboutie, propriétaire du 21, rue Visconti, un expert viendra constater en 1843 que le passage a été effectivement créé et a été rebouché, comme convenu, à l'expiration du bail.
Il a donc existé une ouverture éphémère entre les deux parcelles qui permettait de passer directement de la rue Visconti à la rue Jacob en passant par les cours. Est-ce celui qui est aujourd'hui découvert ? Il ne peut s'agir de puits, en tout cas, car on sait par les plans exactement où ils étaient, et ce n'était pas là.
samedi, 9 août 2008
Par Baptiste Essevaz-Roulet le samedi, 9 août 2008, 15:15 - Actualité de la rue
Evénement fort rare heureusement dans notre rue, le feu a pris rue Visconti, faisant pâlir d'épouvante les personnes présentes.
Plus de peur que de mal finalement. Cela s'est passé mercredi dernier vers 9h30. Un scooter a commencé à cracher quelques flammes alors que son conducteur était encore dessus. Il n'a que eu le temps de le pousser contre le trottoir et de s'écarter. L'engin a alors littéralement explosé et a été finalement dévoré par les flammes.
La fumée, mais surtout la chaleur ont été impressionnantes. La façade du 17, rue Visconti est partiellement noircie, alors que la porte de la librairie JNF a vu sa peinture cloquer et ses affiches disparaître en cendres.
Témoin de la violence de l'incendie, le granit du troittoir a éclaté sous l'effet de la chaleur et il ne reste que la carcasse du scooter...
« billets précédents - page 2 de 5 - billets suivants »